A la tête de la campagne diffamatoire figure l’hebdomadaire national-populiste Marianne, qui doit en partie sa survie aux subventions publiques (1,5 million d’euros selon les derniers chiffres communiqués). Continue reading
A la tête de la campagne diffamatoire figure l’hebdomadaire national-populiste Marianne, qui doit en partie sa survie aux subventions publiques (1,5 million d’euros selon les derniers chiffres communiqués). Continue reading